Christian Lorang
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Président de l'association Re-Med à 57380 Faulquemont
Membre du Syndicat de la Sophrologie
Psychologie Jungienne
Troubles psychosomatiques - anxiété - burn-out
décodage du message symbolique des symptômes
Formé à Paris (FR), Hamburg (Allemagne), Luxembourg, Birmingham (Royaume-Uni). Ich spreche DEUTSCH - I speak ENGLISH
J'espère que ce récit de mon évolution vous apportera quelque chose, ce n'est pas une publicité commerciale mais un témoignage destiné à VOUS encourager. Je suis issu d'une famille très ancienne (11ième siècle) ayant des racines en France et au Royaume Uni, pourtant ennemis pendant la guerre de cent ans. Ces origines annoncent déjà le thème de ma vie: aller au-delà des frontières et des divisions. Voici notre blason datant au 13ième siècle:
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Ma famille comptait en son sein des chevaliers ayant participé aux croisades, y compris celle contre les albigeois (cathares, siège de Béziers en 1209), puis repentis jusqu'à devenir des cathares à leur tour ! Un des descendants, mon ancêtre en 22ième génération donna (selon certains historiens anglais) naissance à la légende de Robin des bois: vers 1330 ce fils d'un propriétaire terrien volait les riches et aidait les pauvres dans les alentours du... Sherwood Forest en Grande Bretagne, qui devint plus tard le lieu attitré de Robin ! Gracié par Edouard III roi d'Angleterre en 1336 il vivait encore en 1351. Je descends aussi de gens tout simples, de paysans, de maîtres fondeurs dans les forges du 17ième siècle, de menuisiers (du 15ième au 18ième siècle), d'un instituteur (début 19ième), de commerçants, de pâtissiers (je conserve le livre de recettes illustré manuscrit datant de 1886/1890). Dans ma famille il y avaient des médecins (dont un médecin militaire français pendant la guerre de 39-45), un docteur en pharmacologie et des personnels de santé. Je ne suis pas riche au niveau matériel, mais très riche en histoire !
Depuis de nombreuses générations ma famille était laïque et assez terre à terre, mais... depuis ma petite enfance je sentais une sensibilité profonde pour des réalités au-delà de ce petit monde. J'aimais les livres alors qu'on me disait de ne pas passer trop de temps à la lecture car cela rend fou. Ce n'est pas facile de vivre à contre-courant et de se faire une place. Alors la vie m'a mené ailleurs... J'étais né à Sarrelouis en Allemagne, dans le land de la Sarre. Peu après mon 6ième anniversaire mes parents décidèrent de déménager à seulement 9 km à vol d'oiseau de là, pour aller s'installer avec moi près de Bouzonville, en France. Cela n'a pas l'air d'être grand chose et nous étions unis par une même langue universelle, le patois. Dans la rue il n'y avait aucun problème de communication, mais à l'école on parlait français, une langue que je ne maîtrisais pas. Ce fut très dur. Mon patois de Sarrelouis (ville française jusqu'en 1815) enrichi de nombreux mots français m'aida un peu, et puis, 5 ans plus tard l'école de la république, des instituteurs formidables (Mlle Champlon, M. Crivellaro, merci à eux !) et mes efforts portèrent des fruits: je fus 1er au test d'orthographe et de grammaire, puis en 1985 j'ai réussi un Bac littéraire avec mention à Creutzwald (Lycée Félix Mayer), avant de faire des études à Strasbourg et à Sarrebruck.
J'ai encore passé bien d'autres frontières dans ma vie, passant de découverte en découverte. Finalement j'ai entièrement assumé mon histoire: après la thèse et l'antithèse il y a forcément une synthèse ! Cela m'a fait prendre de la hauteur. Un jour, une personne qui ne connaissait rien à mon histoire m'a dit spontanément: "tu es comme un aigle, tu survoles les contraires, et tu ne vois pas les frontières que les humains ont dressé entre eux dans leurs têtes; ton travail est de les faire voir l'unité des contraires, de guérir leurs fractures émotionnelles et mentales". Je suis devenu un passeur, un faiseur de liens, un voyageur entre les frontières, un être qui sert l'UNITE existant au-delà de nos séparations intellectuelles, spirituelles et historiques, pour réaliser le Soi comme le définissait le psychiatre C.G. Jung. Le premier lien à (re-)trouver est souvent celui avec notre inconscient, notre ombre, nos faces cachées, nos refoulements et l'énergie transformatrice formidable qui peut causer bien des problèmes lorsqu'elle est bloquée, empêchée, rejetée. Nous avons toutes/tous une face cachée de la lune à intégrer pour être entiers :-)
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L'image ci-dessous, issue de ma collection personnelle, illustre bien ce que je suis: un homme (comme celui représenté en bas à gauche) qui va voir plus loin. Il peut partager ses découvertes avec les autres.
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Depuis mon adolescence j'ai aidé bénévolement de nombreuses personnes en souffrance, et j'ai pu le faire justement parce que j'ai des connaissances qui dépassent les vases clos. J'ai vécu des situations étonnantes, comme celle d'un couple ayant fait avec succès une cure de désintoxication (ils étaient alcooliques depuis au moins 30 ans) après une intervention bouleversante, celle d'une personne débarrassée d'une insomnie en deux séances grâce à la réactivation/guérison d'un souvenir douloureux perdu et refoulé, ou celle d'un père sans repos, proche du suicide suite à la mort inexpliquée de son fils unique qui a trouvé la paix après avoir compris ce qui s'était vraiment passé.
Mon cheminement dans le domaine de l'aide à autrui reflète logiquement ce qui précède: en 20 ans j'ai élargi mes connaissances bien au-delà de nos frontières. J'ai suivi des formations en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et ailleurs, en 3 langues (français, allemand et anglais). Inspiré par le grand médecin psychiatre C.G. Jung (1875-1961) j'ai suivi des cours universitaires en théologie (formidable pour acquérir une culture générale couvrant une période de 3500 ans), en philosophie, en psychologie, et même en parapsychologie, devenant quelqu'un d'assez inclassable puisque je réunis plusieurs domaines, quelqu'un qui assume ses dons.
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Aujourd'hui, j'ai juste une envie immense de partager, de donner, d'aider mon prochain sans aucune distinction. La connaissance ne doit pas rester enfermée, ni dans ma tête, ni dans ma bibliothèque de 3000 volumes , mais elle doit servir les humains, la vie, le retour à l'équilibre. C'est tout un programme, et surtout c'est...la plus belle chose au monde que de pouvoir partager !